Dans « Celui qui veille », Louise Erdrich fait le récit du combat de son grand-père contre une résolution visant à fermer les réserves de cinq tribus amérindiennes. Un récit bouleversant.
Auteur : Florence
L’auteur italien Claudio Morandini signe avec « Le chien, la neige, un pied » un roman à l’atmosphère étrange qui pourrait être une légende qu’on se raconte, à la veillée, au coin du feu.
Écrit par la plus jeune des sœurs Brontë, « Agnès Grey » est une découverte instructive de l’un des rares métiers ouverts aux femmes dans l’Angleterre victorienne.
Antoine Desjardins a quitté temporairement le Québec pour venir passer quelques jours en Nouvelle-Aquitaine. Rencontre avec un écrivain qui place l’homme au cœur de la problématique environnementale.
Kim Thùy était à Bordeaux fin novembre dans le cadre du festival Lettres du Monde. L’occasion idoine pour découvrir ses superbes romans, rencontrer une auteure généreuse et découvrir une femme résolument optimiste.
Avec « Em », Kim Thúy déroule le destin de Vietnamiens d’abord asservis par la colonisation française puis foudroyés par la guerre américaine. Un grand roman concis et bouleversant.
Avec l’adaptation au cinéma des « Illusions perdues », Xavier Giannoli donne des résonances contemporaines au roman de Balzac Un film au souffle romanesque, rythmé et impeccablement interprété.
Dans le recueil de nouvelles « Rien à déclarer », l’écrivain américain Richard Ford raconte magistralement dix histoires d’hommes et de femmes qui dressent le bilan de leur vie. Le ton est mélancolique et juste. Du grand art.
Le poète et romancier Alain Mabanckou sera à Lire en Poche les 9 et 10 octobre pour présenter « Rumeurs d’Amérique ».
Avec « Enfant de salaud », Sorj Chalandon lève le voile sur le passé trouble de son père. Entre mémoire et désespoir. Remarquable.
Depuis presque dix ans, Janique Jouin-de Laurens traduit des romans américains en français essentiellement pour les éditions Gallmeister. Rencontre décontractée.
David Diop signe avec « La porte du voyage sans retour » un roman d’aventure sensible qui nous entraîne dans les terres du Sénégal pré-colonial. Une fiction moderne passionnante. Interview.
« Atmosphère » raconte par le menu la vie ordinaire d’une quadragénaire de Brooklyn qui prend conscience des effets du changement climatique et dresse par là même un portrait réaliste de nos vies urbaines contemporaines. Entre humour grinçant et désespoir poli, Jenny Offill interroge le sens de nos vies.
« Delta blues » est le quatrième roman de Julien Delmaire. Cette fresque musicale foisonnante nous entraîne à la source du blues dans la ville de Greenville, Mississippi. Une multitude de personnages se croisent entre racisme, souffrance et magie vaudoue.
Premier roman de l’Allemande Helene Bukowski, « Les dents de lait » est une dystopie autant qu’un conte cruel. Sur fond de changement climatique, la jeune Skalde affronte des adultes en proie à la peur et choisit ce que sera sa vie. Un roman prometteur dans lequel transparaissent les idéaux écologiques et pacifiques de l’autrice.
« Passion simple », le roman autobiographique d’Annie Ernaux vient d’être adapté au cinéma par la réalisatrice Danielle Arbid. Une réussite.
Qu’est-ce qui nous pousse à acheter un livre et à passer plusieurs heures voire quelques jours avec lui ? Que nous apporte la lecture ? Quels sont les parcours de lecture ? Parce que seuls des lecteurs peuvent répondre à ces questions, nous sommes allés à leur rencontre. Premier portrait de la série avec Cyril, lecteur sensible.
Plus de 20 millions d’euros ont été alloués en 2020 à la filière du livre au titre des plans d’urgence et de relance. Soit presque autant que le montant alloué aux dispositifs réguliers par le Centre National du Livre (CNL). Bilan d’une année exceptionnelle.
Le roman de Sorj Chalandon, « Profession du père », est porté à l’écran par le réalisateur Jean-Pierre Améris.
Le train qui relie les gares de Takarazuka et Nishinomiya-kitaguchi, dans la région de Kobe-Osaka est qualifié de « mignon » et « d’élégant » par les femmes de la région et les touristes. Ces qualificatifs peuvent assurément s’appliquer à ce roman choral ferroviaire de Hiro Arikawa.